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Gérer efficacement sa surface d’exposition (Partie 2)

Dans l’article précédent Gérer efficacement sa surface d’exposition (Partie 1), nous avons utilisé l’outil Uncovery - Advanced EASM pour obtenir une vision précise de la surface d’exposition du système d’information. Les résultats ont montré 160 services exposés sur le réseau internet, à destination d’une population d’utilisateurs bien définie. Dans cet article, nous montrons comment utiliser Chimere afin de sécuriser l’intégralité de ces services, et de les faire disparaitre de la surface d’attaque, tout en les laissant accessibles aux collaborateurs.

Pour ce faire, nous utiliserons le mécanisme d’enrôlement automatique des services proposé par Chimere, puis nous connecterons le fournisseur d’identités de l’entreprise au Manager Chimere pour fournir l’accès utilisateurs à services.

Gérer efficacement sa surface d’exposition (Partie 1)

Lorsque l’on est RSSI ou DSI et que l’on prend un nouveau poste, l’un des défis à relever est de parvenir à prendre connaissance de façon efficace des périmètres sur lesquels il est nécessaire de mettre en place des mesures de protection et des actions de sécurisation. Lecteurs avertis de ce blog, vous savez à quel point l’exposition des applications sur le réseau internet est l’une des causes les plus courantes de la compromission des SI. Et s’il s’agit du premier article Chimere que vous lisez, nous vous laissons jeter un oeil à nos précédentes réflexions sur le sujet : 10 cyberattaques qui ont exploité le principe d’exposition, 3 types d’attaques redoutées par les entreprises et 3 stratégies pour protéger son système d’information des scans sauvages (et des attaques qui en découlent)

Dans cet article, nous vous proposons une méthode pour identifier, puis gérer cette exposition pour enfin réduire de façon optimale le risque de compromission qui tirerait parti de l’exposition de vos assets sur internet.

Réseau et cybersécurité : Qu’est-ce qu’un “service caché” ? Partie 2

L’anonymat applicatif, l’authentification réseau et la suppression de l’exposition sont trois caractéristiques intimement liées au principe de service caché. Dans l’article précédent : Qu’est-ce qu’un “service caché” ? Partie 1, nous avons mis en lumière ces trois aspects du mécanisme, mais ils ne sont pas seuls à apporter des propriétés intéressantes en matière de sécurité réseau. Dans ce nouvel article, il nous paraissait intéressant de mettre en avant quatre autres caractéristiques, beaucoup moins connues que les premières, et qui apportent pourtant une véritable plus-value défensive.

Réseau et cybersécurité : Qu’est-ce qu’un “service caché” ? Partie 1

Le terme de “service caché” est intimement lié à certaines technologies comme le darknet et le Tor Project. Ce mécanisme est employé pour apporter nombre de caractéristiques de sécurité et d’anonymat aux utilisateurs des réseaux. Dans l’esprit collectif, il est admis que le darknet et les services cachés sont principalement utilisés par les cybercriminels afin de proposer des applications accessibles à travers le réseau Internet sans risquer de dévoiler les identités des interlocuteurs. Mais en réalité, les services cachés sont très souvent employés à des fins bien plus nobles pour lesquelles les avantages techniques proposés sont particulièrement appréciés.

Lanceurs d’alertes, échanges de données sécurisées, publication de contenu journalistique, et aujourd’hui accès distant généralisé et sécurisé avec l’avènement du Zero-Trust Network Access, sont d’autant de façons d’utiliser les services cachés pour se protéger. Mais que sont les services cachés, et qu’apportent-t-ils réellement ? Réponses dans cet article.

3 types d’attaques redoutées par les entreprises

En échangeant avec les RSSI et les DSI sur les actions à mener pour assurer une sécurité optimale de leurs systèmes d’informations, il est fréquemment question de sensibilisation des utilisateurs et de la mise en place des bonnes pratiques d’hygiène de sécurité. C’est incontestable, le facteur humain joue très souvent un rôle décisif dans les compromissions des systèmes d’information. Alors que la sensibilisation des collaborateurs et des partenaires est indispensable, il est fréquent d’observer des décisionnaires adopter un point de vue fataliste sur la situation et considérer que la sécurité par l’emploi de solutions techniques est un échec.

Ont-ils raison ? Pour essayer d’apporter des éléments de réponse dans cet article, nous abordons 3 techniques connues que les attaquants emploient pour pirater les systèmes informatiques d’entreprise, et face auxquelles les services de sécurité doivent lutter.

Comment utiliser le darknet Tor pour protéger son système d’information ?

Dans l’article sur la problématique de l’exposition des services, et 10 cyberattaques qui ont exploité le principe d’exposition, nous mettions en évidence les risques liés à la mise en écoute des services sur internet.

Et si nous dissimulions ces services, pour éviter qu’ils ne puissent être trouvés par n’importe qui ?

Une des façons de faire est d’utiliser le réseau Chimere et le mécanisme des services cachés qu’il propose. Cependant, si vous avez peu de services et d’utilisateurs à gérer, que les questions de performance ne sont pas un sujet pour vous, et que vous aimez mettre les mains dans le cambouis, pourquoi ne pas directement utiliser le réseau Tor ? Cette méthode, est intéressante pour les particuliers, ou les petits systèmes d’information d’entreprise.

Voyons comment protéger un service SSH, et éviter d'être la cible d’attaques. En avant !

3 stratégies pour protéger son système d’information des scans sauvages (et des attaques qui en découlent)

Dans les deux articles précédents (Sécurité des SI : comprendre le problème de l’exposition et 10 cyberattaques qui ont exploité le principe d’exposition), nous présentions la problématique de l’exposition des services sur internet ainsi que 10 cyberattaques qui ont exploité le principe de l’exposition. Aujourd’hui, nous souhaitons revenir sur trois stratégies habituelles que les entreprises emploient pour traiter ce problème. Alors que les besoins d’accès à distance et le développement du télétravail ont particulièrement augmenté ces dernières années, quelles sont les stratégies courantes que les entreprises choisissent pour éviter que leurs services exposés ne deviennent une porte d’entrée pour les pirates ?

10 cyberattaques qui ont exploité le principe d’exposition

Dans l’article précédent (Sécurité des SI : comprendre le problème de l’exposition), nous mettions en avant l’exposition des services sur internet, quelle en était l’origine et quels en étaient les risques. Dans cet article, nous revenons sur dix cyberattaques qui ont tiré parti du principe d’exposition pour aboutir. Qu’il s’agisse d’exploitations de vulnérabilités, de défauts de configuration, de techniques d’hameçonnage ou d’une combinaison de ces différents vecteurs, voici les éléments que les entreprises ciblées ou que les commissions d’enquête ont pu révéler suite à l’analyse post-mortem des attaques.

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